Centre de documentation

Cahiers de danse #1

Jeux

Alors que le breakdance devient une discipline sportive aux Jeux Olympiques de Paris, Cahiers de danse s’intéresse au jeu. En trois sections – « Du pain et des jeux », « Plateau de jeu » et « Hors-jeu », la revue propose quelques repères sur l'histoire des rencontres entre (...)

Cette danse, quel spectacle !

Voir un spectacle de danse, c’est percevoir, se laisser emporter, ressentir, imaginer. Être spectateur, c’est être actif et vivre une expérience personnelle. Dans ce livre, conçu par Laurence Pagès, artiste chorégraphique, et Sylviane Pagès, historienne de la danse, l’enfant trouvera (...)

Danses et rituels

Peut-on appréhender la danse comme un rituel ? Comment crée-t-on des actes ritualisés dans les pratiques dansées ? Quels sont les effets de ces actes sur les danseurs et les danseuses, comme sur celles et ceux qui les regardent ? Ce sont les multiples relations entre danses et rituels (...)

Danseuses, 50 héroïnes

Valoriser des créatrices danseuses et chorégraphes, qui ont marqué la scène de la danse moderne et surtout contemporaine, a nourri de façon électrisante la démarche et l’écriture de ce projet. Spontanément, le désir de rendre hommage à des artistes dont les œuvres, les processus de (...)

Déclinaisons du quotidien

Mettre le corps au travail

Un danseur s’entraîne tous les jours, 365 jours par an, à raison de 3 heures par jour, soit 1 095 heures, pendant une moyenne de 40 ans, soit 43 800 heures. Comment remplir toutes ces heures ? De quoi ? Avec qui ? Se lever le matin, commencer, mettre le corps au travail physiquement, (...)

Giselle – Mats Ek

Lorsque le chorégraphe suédois Mats Ek s’empare de Giselle et en donne sa version revisitée, le ballet, depuis son triomphe de 1841, sa quasi-disparition puis sa redécouverte, est une telle référence de la danse romantique qu’il en décourage les relectures. Le chorégraphe suédois, (...)

L'art de marcher

« Au départ il y a un pas, puis un autre, et encore un autre, qui tels des battements sur la peau d'un tambour s'additionnent pour composer un rythme, le rythme de la marche. » Dans cet essai devenu un classique de la pensée contemporaine, Rebecca Solnit retrace à sa manière l'histoire de la (...)

L'espace dans le corps, le corps dans l'espace : l'expression linguistique du mouvement en danse contemporaine

Cette étude s'intéresse à l'expression linguistique du mouvement dans un corpus de 1200 instructions de danse (10348 mots) prononcées par quatre chorégraphes pendant des leçons de danse contemporaine de niveau avancé. Le langage étant un outil fondamental pour la transmission des mouvements (...)

La Marche dans les arts du spectacle

La marche va-t-elle de soi ? La question peut paraître incongrue. Pourtant, la marche ne revêt aucune évidence : elle est, à chaque instant. Elle est, par-delà sa physique, métaphorique, signalant le repli sur l'ouverture aux autres. Ces éléments sont toujours dépendants de l'espace dans (...)

La Scène n°112 mars avril mai 2024

Le magazine des professionnels du spectacle

Dossier : produire et diffuser

May B – Maguy Marin

Plus de quarante ans de carrière ininterrompue, des centaines de représentations, un parcours mondial : May B de Maguy Marin postule au grade de classique de la danse du xxe siècle. Pourtant, l’œuvre et son auteur ne font toujours pas – et ne le veulent surtout pas – consensus. Depuis (...)

Revue NECTART hors-série #1

Politiques culturelles territoriales

Coopération et droits culturels, transitions écologique et sociétale, éducation et formation Numéro conçu en partenariat avec Culture·Co À lire : les textes d’Emmanuel Ethis, Isabelle Jacquot-Marchand, Yannick Jaulin, Sophie Le Coq, Jean-Damien Collin, Raphaël Besson, Julian (...)

Scènes contemporaines

Théâtre, danse, cirque, performance

20 artistes • Renouer les fils avec le passé • Les nouvelles scènes, comment s'y retrouver ? • Changer sa façon de voir • Lexique vagabond • D’où vient ce tohu-bohu ? • Idées reçues ou idées larges • Ils ont montré la voie

Thomas Lebrun

Composition savante et culture populaire en danse contemporaine (et vlan !)

Dès ses premières œuvres, disons La trève(s) (2004), critique aussi décomplexée que déjantée d’une certaine vie à la lumière de la télé, Thomas Lebrun déroute le milieu chorégraphique qui n’aime rien tant que les catégories bien claires pour bien ranger les artistes. Or, Thomas (...)