Après une semaine en immersion aux Bazis en compagnie de Julie Nioche et Laurent Cebe, venez rencontrer la nouvelle promotion de la formation Extensions tout juste arrivée.
Une semaine pour se rencontrer à travers l'imaginaire, la sensation et les invisibles qui nous constituent en tant qu'individus faisant partie d'un groupe. Pendant ces quelques jours partagés ensemble, les danseur·euse·s feront appel aux nombreux fantômes qui nous habitent pour créer une performance à partager.
Le duo entre Julie Nioche, artiste associée de La Place de la Danse, et Laurent Cebe qui se connaissent et travaillent ensemble depuis 6 ans, permet d'aborder un travail autour des gestes fantômes, de l'imaginaire dans la pratique du mouvement et du dessin.
Les associations Les Bazis et l'Œil du souffleur proposent une troisième édition : Prendre Corps#3.
À l'honneur : la danse. Comme geste, comme signature. Corps pensant, corps dansant, corps dessinant.
Parallèlement, un groupe de dessinant·e·s, dirigé par Joachim Ruffat – dessinateur et paysagiste – travailleront aux côtés des danseurs et pratiqueront le croquis. Ils interrogeront ainsi, eux aussi, le rapport au mouvement.
Le samedi 16 octobre 2021, entre 14h et 16h, une performance ouverte au public sera l'occasion de rencontrer danseur·euse·s et dessinant·e·s.
Production : Les Bazis, l'Œil du souffleur, l'ADECC, La Place de la Danse – CDCN Toulouse Occitanie
L'association Les Bazis est soutenue par La Com. de Com. Couserans Pyrénées, le département de l'Ariège
Prendre "la Pyrénéenne" (Foix/Tarbes) sortir à Cazère-sur-Garonne, traverser Cazères, la Garonne, puis direction, Le Plan, Sainte-Croix-Volvestre. Quelques kilomètres après Le Plan, un panneau sur la droite indique La Verrerie (petit panneau Les Bazis), emprunter le petit pont, faire 100m puis tourner à gauche à la 1ère maison que vous croisez sur la gauche, (panneau Les Bazis) puis monter par ce chemin sur 3 km, arrivé en haut prendre à droite, entrer dans le village, continuer en longeant les maisons, sans prendre le chemin qui monte, c'est au bout du village.
