Avec ce solo, la danseuse et chorégraphe Dalila Belaza invente une danse traditionnelle qui n'existe pas, où jeux de lumière, bande-son et scénographie composent une partition d'une grande finesse.
Dans la continuité de sa pièce précédente, Au cœur, à partir de danses folkloriques nord-aveyronnaises, la danseuse-chorégraphe Dalila Belaza poursuit sa recherche sur le métissage et les héritages dansés.
En étroite collaboration avec la créatrice vestimentaire Jeanne Vicérial, elles conçoivent un personnage-matière fantasmagorique, d'où jaillit une nuée de possibles.
Dalila Belaza imagine une danse traditionnelle qui n'existe pas. Affranchie de territoires, une cérémonie imaginée, inventée et libre invite au voyage et au lâcher-prise. Par la mécanique du noir, jeux de lumière, bande-son et scénographie composent une partition d'une grande finesse et transforment la perception de celui·celle qui est témoin. Entre apparitions et disparitions quasi magiques, ce solo dessine les contours d'une histoire multiple, sans passé et au présent.
Une coréalisation La Place de la Danse / Ville de Tournefeuille / Cie Sylvain Huc
Chorégraphie, conception son et lumière, interprétation : Dalila Belaza
Création personnage matière : Jeanne Vicérial
Doublure personnage matière : Aragorn Boulanger
Régie : Alexandre Barthelemy, Tristan Viscogliosi